| 05.08.20 4:38 Kean Siriusla tête au delà des étoilescrédit avatar : fayrell groupe : loup-garou âge apparente : La trentaine. Kean n'a pas la chance de carsser l'immortalité du bout des doigts... âge réel : Trente-et-une années écoulés dans un temps trop prévisible, trop sombre, sûrement. rang : Bêta. Kean n'a jamais eu un caractère soumis, possédant en lui une force qu'il a toujours tenté de freiner. allégeance : Actuellement, personne. Envers lui-même, c'est suffisant, pour l'heure. Ayant quitté sa meute désintégrée, il joue le solitaire le temps que ses blessures se panses. origines : Enfant de Californie, fils d'Angleterre. Deux origines qu'il a obtenu par les siens, un héritage qui s'effacera dans le temps. situation sentimentale : Veuf. Le coeur arraché de sa poitrine, frappé contre un mur là où les esprits étaient fermés. Mari battu à mort devant ses yeux, aujourd'hui, il s'est vengé mais la blessure reste béante. orientation sexuelle : Bisexuel. Il n'a jamais eu honte de l'avouer, mais n'a jamais eu le cran de le dire haut et fort... quartier : En lisière de forêt, dans le quartier de Fitzwilliam arrivée à Black Waters : deux semaines, il a traîné ses pattes dans cette ville, sans trop savoir quoi chercher. theme song : Carnivor (starset) avatar : matthew daddario récapitulatif : - Code:
-
Loup de naissance, coeur en vrac. Gosse d'ailleurs, qui a fini solitaire, sa meute décimée par l'avarice et la connerie. Tatouages trop nombreux, qui représentes les morts de ses griffes, son passé vengeur. Le louveteau n'est plus, laissant place à l'adulte aux regrets nombreux, au passif sombre et au coeur à terre. Aujourd'hui, il arrive en ville sans bagages, avec seuls ses souvenirs. Pas de descendances, pas de familles. Rien. Caractère Loup au passif sombre, qui tente vainement d’étouffer cette noirceur d’autrefois. Brisé par des années de monstruosités, de remords, de sang qui coule de ses propres mains. La douceur semble pourtant briller dans ses yeux charismatiques, mystérieux, envoutants, trop profonds. On s’y perd, comme une tornade qu’on veut désespérément toucher du bout des doigts. Mais le sombre, cesse de battre, d’une façon ou d’une autre. Il ne parle jamais de son passé, comme un secret à garder, à ne jamais dévoiler. L’homme qu’il aimait, tué devant ses yeux. Mariés envers et contre tout, et au final, il ne lui reste que son alliance comme repère. Et tellement d’autres choses, finalement, qu’il faudrait décrire. Sa jalousie, sa passion dévorante, son amour des corps auprès desquels il se perd. Et, il y a cette méfiance évidente, la peur de perdre, encore, les êtres aimés. Kean, c’est une énigme, une âme difficile à comprendre. Imprévisible, parfois instable, mais d’une grande maturité.
ParticularitésTatouages nombreux, trop nombreux, sur sa peau. Chacun d’eux représentes une vie, une seule, qu’il aurait fauché. Par vengeance, pas dépit, par obligation…Une histoire qu’il ne pourra jamais oubliée, ancrée dans ses veines pour le reste de sa vie. Et son loup résonne en lui, aussi noir que la nuit, des yeux éclatants comme un ciel sans nuage. Mais il y a aussi ces cicatrices, qui recouvrent son corps. Une entrée dans sa meute, fracassante. Un rite de passage, sauvage, douloureux, cruel. Et y’a cette noirceur en lui, qui fait palpiter son cœur, qui le rend trop souvent agressif…aussi. Puis, il a certaines manies. Comme détester le bordel, ou encore, boire du café par litre…past lifeLa vie. Un récit, un conte de fée, parfois. Décrire ma vie est comme ouvrir un livre, aux pages sombres, terrifiantes. Pas de contes de disney, pas de princes charmants et de belles princesses. Les dragons sont féroces, les cerbères sont violents et l’enfer est sur terre. Mais on me demande, d’étaler, ça devant vos yeux. Au fond, je devrais peut-être éviter, ne pas en parler. Mais mon journal parlera de lui-même, comme un messager. Et peut être que les faits seront irréels, pour vous, mais cette histoire est la mienne, contée par des pages en papiers aux écorchures sanglantes. Enfant de CalifornieCher journal, Je ressens ce besoin cruel d’écrire, de parler à quelqu’un de toutes ces années. Parce que la rage, elle coule dans mes veines comme un poison ensanglanté. Mais pour comprendre, tu dois connaître mon histoire. Une histoire presque risible, sortie de nulle part. Je m’appel Kean Sirius, fils des étoiles, de la meute des Sixlunes. Oui, tu ne te méprends pas, j’ai bien parlé d’une meute, car mon âme n’a jamais été humaine. Enfant de deux loups, pas des animaux, mais de loups-garous, tels qu’ils existent dans ce monde. Ne visualise pas Underworld, n’allons pas jusque-là, mais davantage, comme dans Twilight, là, tu t’en approche. Compare-nous à des loups normaux, mais plus forts et plus rapides. Et là, tu auras l’image parfaite. Ma meute, elle a toujours prôné la pureté, la désolation, la cruauté. Les Sixlunes, les six châtiments. Meute la plus féroce de Californie, beaucoup n’osaient approchés de notre territoire, sans se voir repartir sans la tête ou pire, avec de la peau manquante. Alpha complètement fou, qui a perdu la raison bien avant ma naissance. Certains disent que c’est à la mort de sa femme et de son jeune fils, d’autres murmures qu’il était déjà cinglé auparavant. Moi, tout ce que je vois, ce que je sais, c’est que son cœur a cessé de battre ou voir, n’a jamais vraiment battu. Alors, j’ai grandi dans cette atmosphère de terreur. Qu’importe ton âge, tu dois savoir te défendre, te battre, sans quoi, tu finiras bannis ou pire, tué par l’alpha au regard sadique. Alors, mes parents ont fait ce qu’ils pensaient être le plus juste…ils m’ont endurci, ont effacés la douceur et la tendresse, pour la férocité et la puissance. Un bien pour un mal, je dirais, car sans ça, je n’aurais probablement jamais survécu plus de quelques années. Alors, j’ai grandi en devenant un combattant, en refoulant mes peurs, pour laisser la noirceur s’emparer de moi. Et, quand ma première transformation a eu lieu, à onze ans, mon rite de passage commença. Chez nous, le rite était musclé, violent et sadique. Les plus vieux, dès la première transformation achevée, s’attaquaient au louveteau pour lui apprendre la rudesse de la vie. Si il se défendait bien, il réussissait, si il échouait…il mourrait. Et comme je t’écris, tu devines que j’ai réussis, non sans marques, non sans cicatrices et sans sang coulé. Mais j’ai réussi, presque trop, ce que l’alpha n’a pas manqué. Il m’a pris sous son aile, un honneur à l’époque…j’étais tellement jeune et stupide. Je l’admirais, cet alpha…aveuglément. Il me battait jour après jour, pour me rendre plus hargneux, plus fort. Il m’apprenait à me battre, à tuer de milles façons, à brutaliser, torturer. Et c’est comme ça que je suis devenu son « ombre », sa machine à tuer, avec les années. Je devais tuer pour lui, torturer pour lui, me salir les mains alors que lui, observait un sourire figé sur les lèvres. J’étais programmé pour ça, il avait fait en sorte que je ne respire que pour ça. Et je comptais, dans ma tête, les victimes. Une…deux…trois…elles s’enchaînaient, mais je ne perdais pas le compte, gravant ma peau de ceux a qui j’enlevais la vie. Des années durant, j’ai obéi, ne connaissant que ça. Jusqu’à ce que je le rencontre lui. Peter. Un loup d’une autre meute, dont je suis tombé rudement amoureux. Sauf que la meute et l’homosexualité, ça fait deux. Comme je te l’ai dit, la pureté doit régner et deux loups mâles ensemble ? C’est condamnable des pires souffrances…Alors, j’ai cherché à m’éloigner, ne pas l’aimer, mais c’était comme ne pas respirer. Impossible. Après un an et demi, j’ai fini par faire la connerie qui nous condamna, qui le condamna. Nous nous sommes mariés et enfuis. Je pensais, j’espérais, qu’ils nous laisseraient partir. Mais non, deux mois plus tard, ils nous ont retrouvés et j’ai vu mon marié être torturé durant 2 jours devant moi, avant qu’on ne lui arrache le cœur. J’ai été laissé pour mort, dans un entrepôt. Ils auraient dû me tuer. L'enfant de la nuitL’inconvénient, c’est qu’ils avaient crées un monstre, sans le craindre. Ils étaient stupides, tu sais. J’étais anéanti, le cœur brisé et la vengeance au bord des lèvres. Ils ne s’attendaient pas à ce que je revienne, que j’attende dans l’obscurité. Et un après un, ils sont morts. Ils ne m’appelaient plus Kean, mais bien Shadow. Je prenais mon temps, comme ils avaient pris leur temps pour tuer Peter. Je torturais, puis marquais ma peau. J’avais été formaté pour ça, et l’arme de l’alpha se retournait contre eux. Puis, une nuit, il ne resta que lui, l’alpha. Les autres étaient morts, huit morts à mon actif, sans compter ceux que j’avais déjà tués pour eux. Je voyais dans ses yeux la nervosité. Quand allais-je attaquer ? Quand allais-je me montrer ? Il perdait la tête, littéralement, au point de faire peur au reste de sa meute. Jouissif. Et, un jour, j’ai attaqué. Il était tellement déséquilibré que ça en fut trop facile. Le tuer ? Non. La place d’alpha, je n’en voulais pas, mais la souffrance qu’il éprouva fut un régal. Je lui pris plusieurs pièces de son anatomie, je te passe les détails, mais ses yeux ne sont plus…avant de le laisser dans cet entrepôt d’autrefois. Et ensuite, je suis parti, loin, terriblement loin. Il fut ma plus belle marque, ma plus douloureuse aussi. Après ça, je me suis juré de ne plus jamais tuer, que pour me défendre. Après ça, je me savais entaché par des souvenirs, par de la douleur, de la noirceur. J’étais plus le même, perdu, complètement paumé. J’ai vagabondé, cherchant probablement une place que je n’ai pas encore trouvé. Maintenant, me voilà dans cette petite ville. J’ai trouvé un boulot comme jardinier dans un jardin publique, ça me convient parfaitement. Je ne sais pas trop si je vais rester ou pas, mais la solitude devient pesante. L’esprit de meute me manque cruellement, mais la peur de retomber dans un monde cruel est trop perçante. Ça ne fait qu’un an que Peter est mort, quelques mois que l’alpha trône sur ma peau…je suis toujours un déchet. pseudonyme : ct âge : trop vieille présence rp : 4 à 5 jours sur 7 comment as-tu trouvé le forum : mylène m'a soudoyé que penses-tu du forum : . un mot à ajouter : prout? |